EDITORIAL
Il faut une certaine inconscience, par les temps de crises que nous connaissons, pour présenter ses vœux de bonne et heureuse année. Mais il faut le faire pour deux raisons au moins :
- C’est là une tradition sympathique du « vivre-ensemble » quand vient ce que l’on appelle la « trêve des confiseurs »
- Et puis me semble t’il une autre raison essentielle qui est celle-ci : il ne faut jamais perdre l’espoir en des lendemains meilleurs que nous pouvons construire tous ensemble pour peu que nous voulions tous nous y mettre.
Réfléchissons donc à ce que pourrait être une société plus juste à condition de mettre les humains d’abord au cœur de nos réflexions avec les conséquences heureuses que cela pourrait avoir sur la nature et le climat.
Karl Marx écrit quelque part ceci : « L’homme ne sortira de la préhistoire que quand il se sera débarrassé du système capitaliste ».
A tous nous souhaitons que 2019 marque le début de la fin de ce système de prédation. Entrons et surtout faisons entrer les générations futures dans l’histoire.
La redaction